Fille de Jules Delbrêl, contrôleur de l’exploitation des chemins de fer de Paris à Orléans, et de Lucile Junière dont les parents tenaient à Mussidan une fabrique de cierges, de cires et de bougies, Anne Marie Madeleine Delbrêl vit ses premières années au gré des nominations de son père, à Lorient (Morbihan), à Bordeaux (Gironde) et à Châteauroux (Indre-et-Loire). Ballottée entre un père libre-penseur et une mère qui obtient qu’on la baptise, elle reçoit de « gens exceptionnels […] l’enseignement de la foi » entre sept et douze ans. Son éducation scolaire et artistique lui est délivrée à l’institution Sainte-Solange de Châteauroux (1911-1912) et lors de cours particuliers. En 1916, elle déménage à Paris (Seine) où son père vient d’être nommé chef des gares parisiennes de la ligne de Sceaux à Denfert-Rochereau.

Son arrivée dans la ville capitale est décisive. Grâce à son père qui aiguise sa curiosité, elle fréquente le salon d’un agnostique spécialiste de Montaigne et s’intéresse à l’art, la littérature et la philosophie. Elle écrit des poèmes, prend des leçons à l’Académie de peinture rue de la Grande-Chaumière, suit les cours de philosophie de Léon Brunschvicg à la Sorbonne ainsi que des cours d’histoire et d’histoire de l’art (1920-1921). Ses fréquentations l’éloignent peu à peu de la religion au point qu’elle écrit en 1922 « Dieu est mort, vive la mort […] il faut avoir le courage de ne plus vivre comme s’il vivait ». Elle fait la connaissance de Jean Maydieu, étudiant de l’École centrale, avec lequel elle entretient une relation amicale, voire amoureuse. Celle-ci s’arrête lorsque Jean Maydieu décide de rejoindre le noviciat des Dominicains. Madeleine Delbrêl, profondément affectée, se retourne vers la foi qu’elle avait abandonnée. Elle s’imprègne d’écrits religieux et rédige un essai sur les relations entre l’art et la mystique. Délaissant les ateliers de peinture et l’écriture poétique, elle pense à entrer au Carmel mais en écarte l’idée. Avec un groupe d’ami(e)s de son quartier, elle fréquente la paroisse Saint-Dominique (Paris XIVe) où elle fait la rencontre de son vicaire, l’abbé Jacques Lorenzo, aumônier scout. Elle se lance dans le scoutisme en 1926 et de cheftaine devient en 1928 commissaire du district de Paris (pour le sud de Paris et la proche  banlieue) des scouts de France ayant en charge la branche des louveteaux et la formation des cheftaines. Par l’activité scoute qui révèle sa capacité à concevoir et à encadrer, elle découvre la portée du travail collectif ainsi qu’un terrain et un milieu d’apostolat. Avec des cheftaines de louveteaux, elle crée un groupe dénommé la « Charité de Jésus » et ébauche un projet de vie communautaire : tout en aidant une paroisse, elles exerceraient un métier au contact des gens.

Madeleine Delbrêl choisit de se former à un métier en adéquation avec cet objectif. En 1931, elle s’inscrit à l’école d’infirmières des Peupliers (Paris XIIIe) et obtient, après six mois de stage dans des hôpitaux parisiens, son diplôme d’infirmière. Elle poursuit ces premières études en entrant, en octobre 1932, à l’École pratique de Service social (EPSS) dite « École Montparnasse » afin d’obtenir le diplôme d’État d’assistante de service social créé en janvier de la même année. Elle explicite ce choix autant professionnel que spirituel dans une lettre à l’abbé Lorenzo le 23 novembre 1932 : « Je crois difficile de faire du vrai service chrétien sans que ce service soit un service social […]. Toute la question est de savoir si nous devons demeurer dans la stricte imitation de la vie de Notre-Seigneur, imitation « historique » ou si nous devons faire accueil à une charité revêtant les formes de l’aide sociale actuelle ». Dans le cadre de sa formation à l’EPSS, elle effectue des stages, dans un service d’HBM, un foyer de jeunes filles, une école hôtelière de la région parisienne puis à l’usine Kuhlmann d’électrochimie de Brignoud (Isère) et réalise deux voyages d’études, l’un en Hollande l’autre en Allemagne, en mai 1933. Conjointement, Madeleine Delbrêl est à la recherche d’un lieu et d’un mode d’insertion pour mener un apostolat qui mêlerait activité sociale et paroissiale. Au printemps 1933, elle est sollicitée par le curé d’Ivry-sur-Seine qui souhaite qu’elle vienne avec les membres du groupe de « la Charité de Jésus » diriger les œuvres d’un centre social en construction à l’initiative du Secrétariat social de Paris dont l’objectif est de rassembler « des instruments de la plus grande conquête des âmes par la multiplication des contacts surtout dans les masses déchristianisées ». De fait, en octobre 1933, elle s’installe dans cette commune de la banlieue rouge de Paris qui s’est donnée un maire communiste, Georges Marrane, en 1925 et  découvre une réalité sociale à laquelle elle avait peu été confrontée. Elle a pour mission de doter le centre social d’une permanence quotidienne et d’effectuer des visites dans le quartier tout en étant « en rapport avec les assistantes sociales de la région : catholiques, protestantes et neutres ». En novembre 1933, elle devient secrétaire de l’Union des œuvres de la commune qui regroupe des œuvres publiques et privées.

Encore élève à l’EPSS, elle écrit cinq articles, en mai-juin puis en septembre 1934, dans la Revue des Jeunes dont l’un des directeurs est le dominicain Marcel-Denys Forestier qui la connaît par le scoutisme. Elle y définit le rôle de la travailleuse sociale qui doit « consacrer ses efforts et son activité à maintenir, à redresser, à étendre l’ordre social » tandis que le centre social est « l’agent le plus adapté à l’éducation harmonieuse de la cité ». Elle interroge le rapport entre « Service social et Charité » et défend l’idée que l’approche antagoniste des travailleurs sociaux et des œuvres dites « charitables » constitue une « erreur grave ». Pour elle, le « vrai service social et la vraie charité » ne font qu’un. Dans ces articles, elle décrit les visites qu’elle fait dans différents services sociaux – le service social de l’Hôtel-Dieu de Paris, le foyer de Soulins à Brunoy (Seine-et-Oise), la ferme-apprentissage de Bel-Air à Briis-sous-Forges (Essonne), l’asile d’Asnières, le Fichier central d’Assistance et dans une école sociale. En juillet 1934, Madeleine Delbrêl sort première de sa promotion. Il lui reste à accomplir deux années de stage qu’elle effectue comme salariée de la paroisse d’Ivry pour laquelle elle assure la fonction d’assistante sociale. Dans ses structures, elle perçoit la misère ouvrière et s’étonne de l’indifférence passive qu’elle trouve auprès de certains chrétiens. « Bien avant que les drapeaux rouges de 36 plongent par-dessus les grilles d’usines, nous avons porté dans nos cœurs le pressentiment d’une révolution. Ce pressentiment était fait du souvenir de ces hommes, de ces femmes que nous connaissions et qui, dans la vie n’avaient pas leur dû », écrit-elle à propos de ce constat en 1942.

Au printemps 1935, un tournant s’opère dans le vie de Madeleine Delbrêl. Elle quitte les locaux paroissiaux pour habiter une maison louée par l’abbé Lorenzo – devenu curé d’Ivry en 1934 – au pharmacien Gustave Marque, personnalité chrétienne de la commune. Elle vit désormais avec ses compagnes à deux pas de la mairie et devient membre du comité d’entraide aux chômeurs créé en 1936 par la municipalité. Dans l’hebdomadaire catholique Sept (n° du 24 avril 1936), elle explique sa décision de travailler avec ce comité : « Nous avons pensé que travailler avec des communistes n’est pas être communiste, ce qui, pour nous, équivaudrait à une authentique apostasie, mais que ça n’aurait pas été chrétien de refuser notre amitié là où le Christ ne refuse pas son amour. » Elle découvre la politique, ses affrontements et ses enjeux : « il suffit d’avoir pénétré dans un certain nombre de familles au moment des élections de 1936 pour prendre conscience de la gigantesque espérance de toute une classe sociale vis-à-vis de la politique », déclare-t-elle a posteriori à propos de cette période.

Le 24 novembre 1936, Madeleine Delbrêl sort major de sa promotion. Son diplôme d’assistante du service social lui est délivré en février 1937 et quelques mois plus tard, l’éditeur catholique Bloud et Gay publie son mémoire de fin d’études sous le titre Ampleur et dépendance du service social. Elle y définit le service social. Il est « fait pour réajuster l’individu à la société » et doit être là « où la société ne donne pas le bien qu’elle doit aux individus ». Elle préconise la coordination « particulièrement opportune » au plan communal et qu’elle a déjà expérimentée dans l’Union des œuvres ivryennes. Début 1938, elle effectue un voyage d’études en Allemagne à l’instigation d’Annette Coutrot – assistante sociale, épouse de Jean Coutrot vice-président du Centre national d’organisation scientifique du travail. Évoquant son retour dans le train Berlin-Paris, elle écrit « […] j’étais dans un bout de chapelle de quartier, pleurant comme deux fois une Madeleine sur le manque de Foi de tout ce que j’aime, touchant du doigt tant de choses évidentes à mettre en vie chez nous dans un climat tellement plus vaste que la Race, le Sol et le Sang ». En juin 38, dans La Revue des Jeunes, elle poursuit sa recherche de définition du service social dans un nouvel article « Service social dans la réalité vivante » où elle dresse une « Physionomie française du Service social ». En parallèle à cette réflexion théorique sur le métier d’assistante sociale et son environnement, elle consolide l’équipe qu’elle forme avec ses amies, « laïques décidées à vivre intégralement l’Évangile au milieu du monde », idées que développe Madeleine Delbrêl dans un article paru en 1938 sous le titre « Nous autres, gens de la rue ».

Au mois de septembre 1939, la guerre déclarée, elle participe à l’évacuation des populations civiles à la gare d’Austerlitz pour l’Union des institutions privées de protection de la santé publique et d’assistance publique de la Seine dont Isabelle de Hurtado est la secrétaire générale. Le 20 septembre 1939, elle est embauchée par le Groupement d’action des services sociaux du département de la Seine (GASSS) et le 21, elle est désignée assistance sociale de l’OPMES (Office de protection de la maternité et de l’enfance de la Seine) pour Ivry. En juin 1940, elle dirige « quelques heures deux des centres de réfugiés de Paris » et est nommée déléguée technique pour le canton d’Ivry, un poste de coordination dont elle n’a cessé de défendre l’utilité. Dans ses écrits de 1940 et 1941 (« But du service social, quand le mettre en place », 1940-1941 ; « Faut-il démarrer un service social ? » 1940 ; « Service social », 1941 ; « La résidence », 1941) elle continue à exprimer sa conception du service social et écrit un nombre important de textes à l’attention d’élèves assistantes et d’employeurs du service social (« Quelques réflexions sur les enquêtes », 1940-1941 ; « Les visites », 1941-1942 ; « L’esprit de justice », 1941-1942 ; « La confiance », 1941-1942). Au début de l’année 1941, elle est recrutée pour le Service social de la région parisienne et est embauchée à mi-temps au Secours national, institution pivot de la politique sociale du gouvernement de Vichy. Elle fait une conférence lors de la session nationale de cet organisme qui a pour titre « Le centre social : comment il se crée » et en devient sa résidente puis sa sous-déléguée pour Ivry. Elle coordonne les services sociaux existants avec le service social municipal parmi lesquels la Maison de la mère (créée en 1941) dont deux de ses co-équipières (Hélène Manuel puis Louise Brunot) sont les directrices. Elle y travaille elle-même quelques mois en 1942  et 1943.

L’année 1941 est une année d’importante production pour Madeleine Delbrêl. Les Éditions du Temps présent publient sous le titre La femme et la maison un texte qu’elle a écrit en 1940 qui fait le constat que « la France entière a souffert » d’une « crise de la vie » et particulièrement d’une « crise de la vie sociale où le mot « service social » ne recouvrait plus que des activités fragmentaires et non cet immense interservice que constitue le travail humain ». À l’attention des assistantes sociales, elle signe en juillet 1941, Aux travailleuses sociales. Veillée d’armes, publié en 1942 aux Éditions Bloud et Gay dans la collection « Réalités du travail social ». Elle y analyse le travail social tout en faisant des propositions concrètes d’organisation. Le 21 mars 1942, elle accepte sa nomination comme conseillère municipale d’Ivry en tant que représentante des œuvres d’assistance et de bienfaisance, en application du décret-loi du 16 novembre 1940 qui remplace les conseils municipaux élus en 1935 par des assemblées nommées par le préfet. La figure de Madeleine Delbrêl, professionnelle reconnue, s’impose au sein de ce conseil municipal composé d’opposants à la municipalité communiste et de chrétiens qu’elle fréquente notamment au sein de l’Union des œuvres. Cette nomination coïncide avec la rédaction d’un rapport sous le titre « L’expérience d’Ivry » en forme de constat « Ce que nous avons trouvé » et de projet « Ce que nous voudrions faire ». Elle s’élève contre « la décomposition morale » et « la crise familiale », plaide en faveur de l’abandon des « remèdes d’urgence » qui « ne constituent pas le mode de vie normal d’une société en bonne santé » au profit du « constructif » et de l’harmonisation de trois domaines : « du travail, de la famille, de la culture personnelle ». Membre du comité de liaison des services sociaux organisé par le préfet, elle adresse en 1942 à la Direction des affaires économiques et sociales de la préfecture de la Seine des propositions concernant le « service familial de secteur » et incite à envoyer les élèves assistantes sociales en stage dans ce secteur. Elle s’efforce de mettre en place des structures pour endiguer le chômage, assurer « la formation des jeunes filles en vue de leur métier de femme » et répondre aux besoins des femmes. Elle participe à une réflexion collective des délégués techniques sur le service familial. Ayant fait de sa ville un laboratoire, elle accueille une journée d’études du Secours national et fait visiter les réalisations sociales ivryennes. Le 29 novembre 1943, elle donne une conférence pour l’association centrale du service social de l’Orne à Alençon.

À la Libération, Madeleine Delbrêl s’interroge, comme d’autres assistantes sociales de la Seine nommées au sein des conseils municipaux par le préfet – telle Céline Lhotte à Vanves (Seine) –, sur son maintien dans le rôle de coordonnatrice des services sociaux et œuvres sociales en lien avec la municipalité. Elle précise à Georges Marrane, président du comité local de Libération, qu’elle considérait sa présence au sein du conseil municipal « comme la représentation du service social » et qu’elle ne « voit pas de raison de cesser de travailler avec la municipalité d’Ivry, puisque […] les mêmes services restent à rendre aux mêmes gens ». Le 25 août 1944, elle se met à la disposition de l’administration municipale et de la population éprouvée par un bombardement allemand puis remet à Venise Gosnat, vice-président du comité local de Libération, une étude sur le service social. Elle reste déléguée technique et précise dans une note de mars 1945 ce qu’une municipalité peut en attendre. Elle continue à produire des textes sur la formation, le recrutement et le rôle des assistantes sociales. Mais le 1er octobre 1945, elle cesse toute activité professionnelle et en octobre 1946 démissionne définitivement de son emploi d’assistante sociale au GASSS. Son maintien dans les structures publiques lui apparaît sans doute contradictoire avec la vocation spirituelle de son groupe. Elle se recentre alors sur son organisation et, avec la quinzaine de femmes qui en font partie, cherche jusqu’à sa mort à incarner sa foi dans le quotidien notamment par une activité salariée et le choix de lieux d’implantation. Convaincues de la nécessité de cet engagement, certaines des équipières s’établissent ainsi dans le bassin minier de Longwy (Meurthe-et-Moselle) en 1946 puis en Afrique et en Algérie dans les années soixante. À partir de 1952, Madeleine Delbrêl gère une coopérative ouvrière de confiserie avec un couple de déportés espagnols rescapés des camps (Carmen et Alberto Codina Pagès). En août 1954, elle remet à Monseigneur Veuillot, responsable du groupe, un dossier fait de notes qu’elle avait écrites depuis son arrivée à Ivry fournissant la matière de son livre Ville marxiste, terre de mission qui paraîtra en 1957.

Le parcours de Madeleine Delbrêl incarne la dimension sociale d’une vie dévolue aux autres. D’abord dans le cadre d’une paroisse, puis comme coordinatrice à l’échelon communal, avec son diplôme d’assistante sociale qui l’a placée sur le terrain de la réflexion théorique et déontologique. Elle s’est attachée par ses nombreux écrits à définir le service social à la fois en tant que professionnelle et en tant que chrétienne, ne cessant d’interroger la formation et les pratiques des assistantes sociales jusqu’à devenir une de leurs porte-paroles. Son pragmatisme en a fait une figure singulière du service social du XXe siècle.

Œuvres

« Travailleuses sociales. Qu’est-ce qu’une travailleuse sociale ? », La Revue des Jeunes, 15 mars 1934. — « Dans les centres sociaux, La Revue des Jeunes, 15 avril 1934. — « Quelques services familiaux », La Revue des Jeunes, 15 mai 1934. — « Service social d’institution », La Revue des Jeunes, 15 juin 1934. — « Service social et charité », La Revue des Jeunes, 15 septembre 1934. — Ampleur et dépendance du service social, Paris, Bloud et Gay, 1937. — « Le Service social dans la réalité vivante », La Revue des Jeunes, n° 6, Paris, Le Cerf, 1938, p. 693-703. — La Femme et la maison. Illustrations de Barbara Konstan, Paris, les Éditions du Temps présent, collection « Ici la France », 1941. — « Notre pain quotidien », collection « Rencontres », n°1, Contemplation, Paris, Cerf, 1941, p.  72-79. — Aux travailleuses sociales. Veillée d’armes, Paris, Bloud et Gay, Collection du travail social, n°1, 1942. — Ville marxiste, terre de mission, rédigé à Ivry de 1933 à 1957, Paris, Cerf, collection Rencontres, 1957. — Nous autres, gens des rues, textes missionnaires, Paris, Le Seuil, 1966. — La joie de croire, Paris, Le Seuil, 1968. — Œuvres complètes en cours de parution, 15 tomes parus, Nouvelle Cité, 2004-2017. — Madeleine Delbrêl, profession assistante sociale. Écrits professionnels, volume 1, Œuvres complètes, 5e tome, Nouvelle Cité, 2007. — Madeleine Delbrêl, Le service social entre personne et société. Écrits professionnels, volume 2, Œuvres complètes, 6e tome, Nouvelle Cité, 2007.

Sources

Archives Madeleine Delbrêl (Association des Amis de Madeleine Delbrêl) Ivry-sur-Seine. — Archives communales Ivry-sur-Seine.

Bibliographie

Emmanuel Bellanger, Ivry banlieue rouge, Capitale du communisme français, XXe siècle, Créaphis, 2017. — Tangi Cavalin, Nathalie Viet-Depaule, Une histoire de la Mission de France. La riposte missionnaire, 1941-2002, Karthala, 2007. — « Madeleine Delbrêl assistante sociale (1931-1945) », Vie sociale, n°3, Cedias-Musée social, 2008. — Gilles François, Bernard Pitaud, Madeleine Delbrêl. Poète, assistante sociale et mystique, Nouvelle Cité, 2014. — Bernard Pitaud, « Madeleine Delbrêl et son métier d’assistante sociale » in  Madeleine Delbrêl, des rencontres décisives, Nouvelle Cité, 2017, p. 255-270. — Michèle Rault, « Conseiller municipal sous Vichy : le cas de la banlieue de Paris, 1941-1944 », Revue historique, 1993/1, p. 419-427. — Michèle Rault, Madeleine Delbrêl parmi les chrétiennes engagées à Ivry-sur-Seine, Actes du colloque théologique international tenu à l’occasion du cinquantenaire de la mort de Madeleine Delbrêl, Amis de Madeleine Delbrêl/Nouvelle Cité, 2015, p.  81-90.

Iconographie

Madeleine Delbrêl, 1935, Archives Madeleine Delbrêl (Association des Amis de Madeleine Delbrêl) Ivry-sur-Seine.